Hommage à Denis de La Patellière .

Publié le 22 Juillet 2013


Denis de La Patellière est décédé dimanche à l’âge de 92 ans.

On doit au réalisateur quelques-uns des plus grands succès populaires du cinéma des années 50 et 60.
Né le 8 mars 1921 à Nantes, Denys de La Patellière, fils d’un officier de carrière, prépare Saint-Cyr lorsque la guerre éclate. Après avoir servi dans l’Armée de libération, il se tourne vers le cinéma en débutant comme ouvrier développeur dans un laboratoire, puis il devient monteur aux Actualités françaises.
Après avoir été l’assistant réalisateur de Georges Lampin, Maurice Labro et GeorgesLacombe, c’est à son tour de se lancer dans le grand bain en 1955 avec son premier long-métrage, Les aristocrates, avec Pierre Fresnay .
Les plus grands acteurs français de l’époque tourneront sous ses ordres :
Jeanne Moreau et Danielle Darrieux dans Le salaire du péché (1956).
 Jean Gabin, Pierre Brasseur et Bernard Blier dans l’excellente adaptation du roman de Maurice
Denis de La Patellière est décédé dimanche à l’âge de 92 ans.
On doit au réalisateur quelques-uns des plus grands succès populaires du cinéma des années 50 et 60.
Né le 8 mars 1921 à Nantes, Denys de La Patellière, fils d’un officier de carrière, prépare Saint-Cyr lorsque la guerre éclate. Après avoir servi dans l’Armée de libération, il se tourne vers le cinéma en débutant comme ouvrier développeur dans un laboratoire, puis il devient monteur aux Actualités françaises.
Après avoir été l’assistant réalisateur de Georges Lampin, Maurice Labro et Georges Lacombe, c’est à son tour de se lancer dans le grand bain en 1955 avec son premier long-métrage, Les aristocrates, avec Pierre Fresnay .
Les plus grands acteurs français de l’époque tourneront sous ses ordres :
Jeanne Moreau et Danielle Darrieux dans Le salaire du péché (1956).
 Jean Gabin, Pierre Brasseur et Bernard Blier dans l’excellente adaptation du roman de Maurice Druon, "Les grandes familles" (1958) . Dialogues d’Audiard .
Jean Gabin, qui fut son acteur fétiche, puisqu’il l’utilisa à 4 reprises . On pense notamment à son rôle de père de famille dans "Rue des Prairies" en 1959 .
Mais son film phare est sans conteste , ‘Un taxi pour Tobrouk" en 1960. Ce film, toujours dialogué par Audiard, nous plongeait au beau milieu de la Seconde Guerre mondiale, entre Tobrouk et El-Alamein, ou quatre soldats français et leur prisonnier allemand se retrouvaient dans le désert africain.
 Au début des années 1970, il cède la place à une nouvelle génération, signant ses deux derniers longs métrages, Le Tueur (Gabin, Blier) et Prêtres interdits (Hossein). Le succès s’éloignant, il tourne pour la télévision des épisodes du Commissaire Maigret, la série "Un juge, un flic" ou encore  "Le comte de Monte-Cristo" (1979) avec Jacques Weber .

Rédigé par fatizo.over-blog.com

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